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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

La police de Vichy combattante et résistante d’après le Ministre de l 'intérieur

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🇫🇷#8Mai Partout en France, un hommage a été rendu à tous ceux qui ont combattu pour la patrie : « Dans les préfectures, les commissariats, devant les monuments aux morts, d’une seule et même voix, nos reconnaissances se mêlent et nos respects se joignent » Ils falsifient l histoire sous l heure d’été de petain 1942

François Mitterrand et le chef des terroristes français René Bousquet

Il faut savoir que Vichy créa des faux réseaux de résistance et de maquis par Jacques chevalier Robert Badinter, demandait « qu’on nous montre le dossier de résistance de M. Bousquet, qu’on voie pourquoi cet homme a été non seulement réhabilité mais redécoré, parce que, réellement, c’est incompréhensible pour les jeunes […] et pour nous-mêmes »  Ségolène Royal réfléchit. "Parce que, quand on fait de la politique, on n'est jamais seule." Mitterrand reste sa référence. Rien n'ébranle sa fascination, ni les "affaires" qui salissent le second septennat, ni, plus tard, la révélation des écoutes pratiquées par l'Elysée. Le droit d'inventaire convoqué par Lionel Jospin ? Très peu pour elle, merci. "Je ne l'ai jamais entendue dénigrer Mitterrand", confirme Me Mignard. Pire, elle s'élève contre tous ceux qui émettent une critique ou un trouble. Après les révélations sur le passé vichyste du chef de l'Etat par Pierre Péan dans Une jeunesse française, l'université d'été du PS, en 1994, est sanglante. Quelques députés, comme Manuel Valls, s'insurgent contre les "conventionnels", qui excusent son amitié intacte pour René Bousquet, le responsable français de l'arrestation des juifs. Ils se font rabrouer. "Hollande, Royal ou Bredin m'ont insulté. Ils sont incapables de  leur propre destin du sien", se lamentait Pierre Moscovici dans Le Monde   du 16 novembre 1994. "Chaque époque a ses zones d'ombre. Je ne suis pas procureur", se défend Ségolène Royal. Elle a laissé faire le temps et l'oubli et observé, dès l'année dernière, que le revival Mitterrand avait commencé. L'ancien président est redevenu tendance depuis le 21 avril 2002. "La mémoire, c'est le tri. Il y a aujourd'hui une nostalgie Mitterrand, qui est la nostalgie d'une France qui tient son rang, préfère-t-elle. Elle s'est adjoint Jean-Louis Bianco, dont le pere etait un grand petainiste sous l heure d'ete de 1942 le mutique secrétaire général du président, à la tête de son équipe, et fait de l'implacable Dominique Bertinotti, qui protège les archives mitterrandiennes de la curiosité des journalistes et des historiens, sa mandataire financière. Même sa campagne a un petit goût vintage. Les barrettes dans les cheveux au nom de "Ségolène" ont remplacé les pin's de la "génération Mitterrand", un concept inventé début 1988 par Jacques Pilhan pour meubler l'hiver trop long.

Rapport au Ministere de l'Interieur en 1943

Le Préfet de la Haute-Vienne ne peut écrire à ce sujet Une intense propagande est fait auprès des sympathisants. I.e parti apparait comme bien organsiné armé et habilement dirigé des estafettes porteurs d'instructions circulent à bicyclettes; ils n'hésitent pas le cas échéant, à abattre qui conque tente de leur barrer la route. Insidieuse mais toujours pressente la propagande communiste prend des formes différente selon l'état d’esprit des populations travailleuse. il est évident que l’issue des combats africains a donné aux communo-gaullisles un thème précieux de propagande. Celle de bouche à oreille est particulièrement active dans plusieurs départements. Elle a pour but de recruter des jeunes gens susceptibles de combattre, le jour venu contre les troupes occupantes les armes nécessaires étant parachutées  par les avions britanniques.

REPERCUSSIONS DES MENEES ANTI NATIONALES

ATTENTATS, Si l’activité communiste a été nulle dans quelques départements, celui des Basses -Alpes en particulier, en revanche des actes de terrorisme - plus fréquent moyen d’action communiste - qui témoignent de la part de leurs auteurs d’une particulière audace, sont signalés ans la région de limoges et de Lyon, p[i!es attractifs des attentats les plus sérieux sabotages sur les voies ferrées , usines, pylônes et transformateurs électriques, cambriolages des mairies.

C’est le 8 mai l’attaque à main armée contre le train Ussel-Tulle ; le meurtre, le 10 mai, d'un brigadier de gendarmerie. Le lancement d’un explosif sur le toit de la maison du délégué à la propagande du Maréchal Riocaud. En Dordogne, un attentat perpétrer contre des gendarmes. toujours s en Dordogne. dans la région de Bergerac, qui reste la plus agite, l’agression dont faillit être victime à son propre domicile un autre délégué a la propagande du Maréchal Le chef de Gestapo de Chalons s/Saône, tué à Roanne au moment ou il proclamait l’arrestation d’un suspect. 

En Corrèze l'attentat du 1er mai, d’origine gaulliste, affectant l’usine métallurgique de la Marque. L'évasion de 9 détenus politiques de la maison d'arrêt de Périgueux, etc.

OPERATIONS DE POLICE

Dans le but de procéder à une Épuration nécessaire de vastes opérations de police ont déclenchées dans la Haute-Vienne les 22 et 23 mai, Limoges; Brive , Tulle. Elles ont permis de vérifier l'identité et la situation de 8 100 personnes.

Des rafles et descentes de police monstres ont été faites dans les principales villes de la Corrèze, dans le Vaucluse, le Lot dans le Cantal, dans les grands centres du Puy-de-Dôme, du Rhône, à Lyon 20000 personnes ont été interpellées le service régional de police de sureté à été de son coté , très actif: 2193 inculpations, 886 personnes écrouées, 30 chefs communistes

arrêtés et parmi eux les auteurs des attentats commis à. Saint-Étienne et à Crolles (Isère) contre des membres des armées d’occupation.

Des anarchistes espagnols assurant des services de liaison en Saone-et-Loire, Savoie et lsére, ont été appréhendés au cours de leur mission porteurs d’importants documents et d’armes parachutées. 21 membres influents des Mouvements unis de résistance ont été arrêtés de même que des militaires de l'armée secrète porteurs de caisses de mitraillettes, revolvers et

bombes incendiaires.

Dans Je Gard les arrestations opérées par la police d'éléments ayant commis une série d’attentats ont diminué en nombre et en importance, surtout depuis l’exécution des deux terroristes,

Faita et Robert , condamnés à mort. Devant la Cour spéciale de Montpellier a eu lieu le 17mai le jugement de 31 détenus qui avaient tenté de reconstituer le parti communiste dans les départements de l’Aude, de l’Hérault

Âgé de 31 ans, il est ensuite préfet régional (le plus jeune de France) en septembre 1941. Dans la Marne, il se distingue en maintenant en fonction les élus radicaux et francs-maçons (on pense - certains disent à tort2- qu'il a très probablement été initié3), ce qui lui vaut d'être la cible des quolibets Je_suis_partout">artoutng>. Il favorise également l'évasion de certains prisonniers de guerre et parvient à épargner à son département de la Marne la colonisation économique par l'Allemagne nazie4.

En 1942, l'amiral François Darlan lui propose les ministères du Ravitaillement et de l'Agriculture qu'il refuse par deux fois.

En avril 1942, au moment précis où les SS prennent, en zone occupée, la responsabilité du maintien de l'ordre, Pierre Laval le nomme au secrétariat général à la police avec dans la limite de ses attributions « délégation générale et permanente à l'effet de signer au nom du Ministre Secrétaire d’État à l'Intérieur, à l'exclusion des décrets, tous actes, arrêtés ou décisions relatifs aux dites attributions »5. Il occupe, à ce titre, un rôle principal dans la collaboration policière de Vichy avec l'occupant allemand, conformément aux termes de l'armistice de 1940. Après une rencontre avec Heydrich le 6 mai 1942, il engage à partir de juin une négociation sur les questions de police avec le général SS //wiki/Carl_Oberg Karl Oberg nommé dans l'intervalle Chef supérieur des SS et de la police en zone occupée. Selon le principe de la « liberté prussienne » appliqué à la police collaboratrice, René Bousquet pouvait disposer d'une large autonomie à condition qu'il promît de combattre les ennemis du Reich (Juifs, communistes, résistants). Conformément aux instructions signées Hitler du 9 mars 1942, le général Oberg était en droit de « donner des instructions aux autorités et Forces de police françaises, de les contrôler et de disposer de l'engagement des Forces de police françaises. »

Finalement, il obtient avec la déclaration Oberg du 8 août 1942 « que la police puisse agir sous sa propre responsabilité » (ce qui excluait dorénavant les réquisitions et l’action en commun sous ordre allemand) « qu’il soit posé comme principe que la police française ne sera pas mise en demeure par les services dépendant du Commandant des SS de désigner des otages et que les personnes arrêtées par elle ne soient en aucun cas, de la part des autorités allemandes, l’objet de mesures de représailles; que d’une manière générale et sauf cas d’espèce les ressortissants français coupables de délits politiques ou de délits de droit commun qui ne sont pas directement dirigés contre l’Armée et les Autorités d’occupation, soient frappées par les autorités administratives ou judiciaires françaises dans des conditions prévues par la loi française ».

En contrepartie, les services de répression française doivent collaborer avec les services de sécurité du Reich dans la lutte menée contre les « terroristes7 ». (le texte définitif du 8 août mentionne également les communistes et les saboteurs, mais en aucune façon les Juifs).

,13. Fin juillet il reçoit une lettre du général Pierre Laval12 Rafle du Vélodrome d'Hiver) où plus de 13 000 innocents voués à la mort son arrêtés. suivies le 26, 27 et 28 août de rafles en zone libre qui n'ont pas épargné les enfants de ces Juifs étrangers de moins de seize ans à la suite de la proposition de or_Danneck des Juifs étrangers et apatrides du 16 et 17 juillet 1942 à Paris étrangers dans les deux zones puis organise le 4 juillet avec Helmut Knochen et Theodor Dannecker la ifs Carl Oberg, contre la promesse de diriger un corps de police unifié, à mettre ses hommes au service de l'occupant pour arrêter les Judevantllet 1942, il s'engage an et demi peuvent être déportés en même temps que ceux internés à Drancy ,. En mai 1942, il demande à Heydrich si les Juifs apatrides internés en Schutzstaffel SS Karl Oberg le félicitant de la conduite exemplaire de la police française.

Alors que Theodor Dannecker insiste pour que 11 000 Juifs de la zone libre leur soient livrés, Bousquet assure à Helmut Knochen chef du SD en France que les 3 000 premiers Juifs de la zone libre seront entre leurs mains avant août15. Il accélère la déportation des Juifs étrangers de la zone libre. En effet, à l'automne 1942, 8 000 à 10 000 d'entre eux sont arrêtés

Le 10 septembre 1942, recevant le pasteur Marc Boegner, chef des protestants français, René Bousquet se montre particulièrement intransigeant et refuse de renoncer à la traque des enfants juifs soustraits aux convois de déportation et cachés par les Églises et les particuliers : « Nous les chercherons. […] Nous les prendrons là où ils sont. […] Nous devons les chercher. » Selon les notes du pasteur Boegner,

À propos de l’exécution des mesures prises, notons qu’avant le 10 septembre, René Bousquet intervient à la demande du Secours aux enfants pour faire libérer et sauver de la déportation une cinquantaine de jeunes de plus de seize ans ainsi qu’une demi-douzaine d’adultes hébergés au château de la Hille

Notons également qu’il est précisé, postérieurement à la rencontre, dans les carnets du pasteur Boegner, le 15 septembre (page 206) « les hôtes du Chambon-sur-Lignon (contrôlés le 14 août par la police, cf page 192) passent en Suisse les uns après les autres. C’est la solution du problème. La situation se détend » ; le 28 septembre (page 207) « En fait deux mille cinq cents Juifs sont entrés en Suisse rien qu’au cours de ces dernières semaines. »

En 1943, il prend des contacts avec la Résistance en protégeant certains de ses membres menacés d'arrestation, notamment François Mitterrand qui animait un réseau de prisonniers évadés ; il sabote également certaines opérations montées contre les maquis ou procède à des libérations de personnes détenues. À l'occasion de l'assassinat de Maurice Sarraut par des miliciens le 3 décembre 1943, il pourchasse impitoyablement les assassins et montre ainsi sa volonté de s'éloigner des ultras de la Collaboration. Il entre alora>s en conflit avec Darnand, chef de la Milice, qui le remplace le 31 décembre 1943, à la suite de sa démission. Il est arrêté le 9 juin 1944, juste avant la Libération et conduit avec sa famille, en résidence surveillée en Bavière. Il est libéré en avril 1945 par les Américains. Ceux-ci, bien renseignés, lui proposent de partir directement pour les États-Unis avec sa famille : l'Office of Strategic Services (agence de renseignement du gouvernement des États-Unis), dont le représentant en Suisse était Allen Dulles, avait justement évalué l'importance d'un tel personnage. René Bousquet refuse et demande à rentrer en France où il sera incarcéré à la prison de Fresnes du 17 mai 1945 au 1er juillet 1948.

Écarté de la haute fonction publique, Bousquet n'en allait pas moins poursuivre une brillante carrière dans la presse et à laBanque de l'Indochine où il fut recruté par Jean Laurent, ancien chef de cabinet du général Charles_de_Gaulle">de Gaulle et authentique résistant. C'est notamment à cette époque que Jean-Paul Martin, son ancien collaborateur à Vichy, devenu directeur de cabinet du ministre de l'outre-mer François Mitterrand mit en contact les deux hommes. Cependant, il est probable que René Bousquet et François Mitterrand, sans se connaître formellement, en savaient déjà beaucoup l'un sur l'autre : en effet, c'est sur instruction de René Bousquet que Jean-Paul Martin évita à François Mitterrand l'arrestation par la Gestapo. Les liens forts constitués entre les deux hommes datent de cette période de la guerre.

En 1957, le Conseil d'État consentit à lui rendre sa Légion d'honneur, et l'ancien secrétaire général à la Police de Vichy fut même amnistié le 17 janvier 1958.Il se lança alors dans la politique à l'occasion des élections législatives de 1958, et fut candidat (soutenu par l'UDSR) dans la troisième circonscription de la Marne avec pour suppléant Hector Bouilly, un conseiller général radical-socialiste. Avec seulement 4 461 voix, Bousquet rassembla moins de 10 % des suffrages, tandis que la Marne élisait trois députés UNR

Après la mort en 1959 de son ami Jean Baylet, Bousquet siégea au conseil d'administration de La Dépêche du Midi, dont il anima un temps la direction aux côtés de la veuve de celui-ci, et fit ainsi campagne en faveur de François Mitterrand en 1965, avec une ligne éditoriale anti-gaulliste. On note à cette époque l’organisation claire d’un fort courant anti-gaulliste en Tarn-et-Garonne (et globalement en Midi-Pyrénées). « Il dirige, en réalité, le quotidien toulousain tout au long des années, en surveillant de près sa ligne politique anti-gaulliste ». C'est en 1971 que Bousquet se brouilla un temps avec Évelyne Baylet et quitta le conseil d'administration de La Dépêche du Midi. Dès lors, coïncidence ou non, le journal abandonna le ton franchement hostile qu'il avait contre le régime incarné par Charles de Gaulle (1958-1969), puis par Georges Pompidou pour redevenir un journal régional de gauche modéré.

En 1974, René Bousquet soutient et apporte son concours financier au candidat François Mitterrand contre Valéry Giscard d'Estaing, comme il l'avait fait en 1965, pour sa campagne présidentielle. À l'époque, la législation sur le financement des partis politiques est assez vague et les partis de Gauche rencontrent des difficultés alors que ceux de Droite bénéficient du soutien du patronat. Une photographie de l'époque témoigne de ces contacts entre les deux hommes, réunis en compagnie de Jean-Paul Martin, autour d'une tablée familiale dans la maison de Latche.

En 1977, François Mitterrand organise autour de René Bousquet un déjeuner regroupant plusieurs anciens résistants dontHenri Frenay, le fondateur du mouvement Combat en présence de Jacques Attali. Tous ceux qui sont présents, selon Mitterrand, lui doivent la vie.

René Bousquet fréquente pendant toutes ces années plusieurs centaines d'autres personnalités, ignorantes ou non de ses agissements à Vichy. Pascale Froment indique ainsi que l’ancien préfet devenu banquier « met aussi, parfois, à contribution, pour des consultations juridiques, son vieux camarade de faculté Georges Vedel », siège au conseil d'administration de laSociété financière pour la France et les pays d’outre-mer (SOFO), présidée par Edmond Giscard d’Estaing, « connaissait personnellement Antoine Pinay (qui avait appartenu au Conseil national de Pétain) ; il est ami avec son directeur de cabinet Henri Yrissou, député indépendant, inspecteur des Finances, médaillé de la Résistance, qui avait successivement servi Bouthillier et Cathala à Vichy. » Elle ajoute que René Bousquet fut reçu à l’Élysée par René Coty. Elle précise aussi :

François Mitterrand, pour justifier sa propre relation avec René Bousquet, cite également les noms de Pierre Mendès France etHenri Queuille comme le rapportent Pierre Favier et Michel Martin-Roland  René Bousquet siège notamment au conseil d'administration d'UTA (Union de transports aériens), dirigée par Antoine Veil (mari de Simone Veil), qu'il avait déjà connu aux Chargeurs réunis. En 1978, à la suite de l'entretien accordé par Louis Darquier de Pellepoix à L'Express, Antoine Veil obtient la démission de René Bousquet

En 1981, après la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle, René Bousquet se rend à l'Élysée « pour parler politique ». « Je l'écoutais comme on écoute un chroniqueur politique. Il me voyait comme un continuateur d'une carrière qu'il n'avait pas pu faire » (déclaration de François Mitterrand à Pascale Froment

A partir de 1940, sa « popote » invite des personnalités de la Collaboration : François Lehideux, Pierre Pucheu, Paul Marion, Victor Arrighi, Jacques Benoist-Méchin, Pierre Drieu la Rochelle et Yves Bouthillier, hommes du clan Darlan dont certains sont ministres.

Ce cercle d'influence a été dénoncé par les adversaires de Darlan et accusé par eux d'avoir mis en place la synarchie qui aurait été animée par la banque Worms, dont Gabriel Le Roy Ladurie est le directeur de 1940 à 1944

Ils seront des membres d’x crise association technocratique qui gouvernera le régime de Vichy

Jacques Leroy ladurie était le beau père de Roger Fauroux ministre de l'Industrie qui fut nommé par "Tocard" Il était porteur de l'ideologie de la Révolution Nationale afin de protéger l'Heure Allemande de la déportation de 1942....

La police de Vichy combattante et résistante d’après le Ministre de l 'intérieur
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