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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

Republicains Espagnols base sous marine

  Photo nopasaran36

 

 

 

 

 

La 15 ème brigade était composée de citoyens Américains.

Elle avait pris le nom de Brigade Abraham Lincoln. A droite un soldat de la Brigade Lincoln

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de 60 ans après, un mémorial

 

 

 

 

 

 

En 1940 dès milliers d'ouvriers requis par les. Allemands participent à la construction de la  base sous-marine de Bordeaux, un bunker géant plongé dans l'eau du bassin à flot sur 177 mètres de long, 23 mètres de large et 31 mètres de haut. Un chantier émaillé de nombreux accidents. Des dizaines d'ouvriers perdent la vie, dont 72 républicains espagnols. En 2005, le Cercle des écrivains humanistes de Blanquefort rappelle cette page d'histoire totalement oubliée et lance l'idée de construire un mémorial pour honorer les victimes. En 2006, l'Association pour le mémorial des républicains espagnols est créée. Elle lance la collecte des fonds nécessaires et le projet prend forme.

   « L 'affaire est bien lancée. Au rythme où vont les choses, la construction du monument pourrait commencer à la fin de l'hiver et nous pourrions l'inaugurer le 3 novembre, jour anniversaire de la mort de Manuel Azana, dernier président de la République espagnole, inhumé à Montauban », annonce, tout heureux Antonio Cordoba Alcaide, historien écrivain de Blanquefort, fondateur de l'Association pour le mémorial des républicains espagnols.

  Président des écrivains de Blanquefort, fier de sa double nationalité française-espagnole, il se fait un devoir d'évoquer les durs moments vécus par ses « frères », les républicains espagnols, contraints et forcés de quitter leur pays puis sévèrement traités. «Les rouges, comme on les appelaient! Ils n'ont pas été seulement rejetés d'Espagne et regroupés dans des camps, us ont été aussi remis aux. Allemands pour des travaux forcés. » Le sacrifice de ces républicains espagnols n'a pas été occulté à l'époque. A la caserne Niel de Bordeaux où les travailleurs requis passaient la nuit, une stèle avait été érigée et le nom des victimes y était gravé. «L'ennui, précise Antonio Cordoba, c'est qu'une fois la guerre finie, cette stèle a disparu et que l'on n'a plus du tout parlé des disparus. » Le premier travail de l'historien local a donc été de rechercher cette stèle et tous les témoins de l'époque. La stèle demeure introuvable. En revanche, l'évocation du travail de mémoire engagé (dans « Sud Ouest » notamment) a eu pour effet de faire remonter de nombreux témoignages.

  Parmi les plus précieux, celui d'une femme âgée de 81 ans résidant aujourd'hui en Espagne. « Elle était à la caserne Niel durant la guerre », précise Antonio Cordoba. « Elle se souvient parfaitement de la mise en place de la stèle. Ce jour-là, il y a eu un repas plus copieux que d'habitude, il y avait de la musique, certains en auraient .même profité pour danser. » Comme bien d'autres, cette octogénaire se réjouit de la démarche de l'association bordelaise et a promis, si son état de santé le permet, d'être présente lors de l'inauguration du monument. A condition qu'il soit construit à la date prévue car il faut tout de même trouver 24 000 euros en moins de huit mois. «Nous sommes presque sûrs à ce jour de pouvoir réunir cette somme», assure Antonio Cordoba. « Les collectivités contactées se disent prêtes à nous aider. Pour recevoir les subventions, il nous fallait une association en règle, ce qui est fait aujourd'hui (l). » Le président de l'Association pour le mémorial est si optimiste qu'il a déjà demandé aux constructeurs d'acheter les matériaux. La base de pierre du monument (trois grandes marches) sera taillée par les stagiaires de l'AEPA de Caudéran, toute la partie marbre, une pyramide tronquée de 2,5 mètres de haut (avec incrustation de photos du chantier) réalisée par un artisan de Blanquefort. Quant à l'emplacement, il est déjà retenu. Ce sera juste à l'angle de la base sous-marine, en bordure du bassin à flot.

 

: Jean-Paul Vigneaud

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Antonio Cordoba et Ertick Labrousse ne sont pas peu fiers d'annoncer la construction du Mémorial

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le gouvernement français, par négligence, n'a pas préparé l'exil des républicains espagnols. La
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internationale, Daladier donne l'ordre de passage le 5 février 1939.

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fstele.jpgrontière restec_amp_de_gurds.jpg fermé à l'armée républicaine poursuivie par les franquistes. Sous la pression de l'opinion publique internationale, Daladier donne l'ordre de passage le 5 février 1939.

 

La 15 ème brigade était composée Ce documentaire revient sur un chapitre capital de l'histoire du Front merignac-camp.JPGpopulaire français : à savoir, la position controversée de Léon Blum qui, pendant la guerre d'Espagne, opta pour la non-intervention. Tandis que le bras de fer est engagé entre démocraties et fascismes (Mussolini, en Italie, est au pouvoir depuis 1922, Hitler, en Allemagne, depuis 1933), que la crise économique, morale et politique ébranle le Vieux Continent, les élections législatives de 1936 marquent, en Espagne (février) comme en France (mai), la victoire de la gauche, sous les appellations respectives de "Frente popular" et "Front populaire". Quand, en juillet, les troupes du général Franco entreprennent de renverser le gouvernement républicain espagnol, Madrid demande l'aide de la France, qui semble d'abord y répondre favorablement. Mais en quelques jours, l'attitude hexagonale change du tout au tout : Léon Blum recule et la France n'interviendra d'aucune manière ! Raisons intérieures (hostilité des radicaux, violente campagne de presse) et extérieures (recherche vaine d'un accord avec Londres) expliquent sans doute ce choix, mais le justifient-elles ? Léon Blum aurait-il dû respecter l'accord franco-espagnol de 1935, ainsi que la solidarité antifasciste ? Aurait-il dû envoyer des armes aux Républicains, au lieu de s'en tenir au principe de non-intervention, certes signé en août 1936 par tous les pays, mais que les Italiens et les Allemands ont délibérément violé en fournissant une aide matérielle et humaine aux Nationalistes espagnols ? Quel fut le poids de cet épisode dans l'affaiblissement des démocraties face à la montée du péril totalitaire ?de citoyens

Ce documentaire revient sur un chapitre capital de l'histoire du Front populaire français : à savoir, la position controversée de Léon Blum qui, pendant la guerre d'Espagne, opta pour la non-intervention. Tandis que le bras de fer est engagé entre démocraties et fascismes (Mussolini, en Italie, est au pouvoir depuis 1922, Hitler, en Allemagne, depuis 1933), que la crise économique, morale et politique ébranle le Vieux Continent, les élections légi

Ce documentaire revient sur un chapitre capital de l'histoire du Front populaire français : à savoir, la position controversée de Léon Blum qui, pendant la guerre d'Espagne, opta pour la non-intervention. Tandis que le bras de fer est engagé entre démocraties et fascismes (Mussolini, en Italie, est au pouvoir depuis 1922, Hitler, en Allemagne, depuis 1933), que la crise économique, morale et politique ébranle le Vieux Continent, les élections législatives de 1936 marquent, en Espagne (février) comme en France (mai), la victoire de la gauche, sous les appellations respectives de "Frente popular" et "Front populaire". Quand, en juillet, les troupes du général Franco entreprennent de renverser le gouvernement républicain espagnol, Madrid demande l'aide de la France, qui semble d'abord y répondre favorablement. Mais en quelques jours, l'attitude hexagonale change du t

Ce documentaire revient sur un chapitre capital de l'histoire du Front populaire français : à savoir, la position controversée de Léon Blum qui, pendant la guerre d'Espagne, opta pour la non-intervention. Tandis que le bras de fer est engagé entre démocraties et fascismes (Mussolini, en Italie, est au pouvoir depuis 1922, Hitler, en Allemagne, depuis 1933), que la crise économique, morale et politique ébranle le Vieux Continent, les élections législatives de 1936 marquent, en Espagne (février) comme en France (mai), la victoire de la gauche, sous les appellations respectives de "Frente popular" et "Front populaire". Quand, en juillet, les troupes du général Franco entreprennent de renverser le gouvernement républicain espagnol, Madrid demande l'aide de la France, qui semble d'abord y répondre favorablement. Mais en quelques jours, l'attitude hexagonale change du tout au tout : Léon Blum recule et la France n'interviendra d'aucune manière ! Raisons intérieures (hostilité des radicaux, violente campagne de presse) et extérieures (recherche vaine d'un accord avec Londres) expliquent sans doute ce choix, mais le justifient-elles ? Léon Blum aurait-il dû respecter l'accord franco-espagnol de 1935, ainsi que la solidarité antifasciste ? Aurait-il dû envoyer des armes aux Républicains, au lieu de s'en tenir au principe de non-intervention, certes signé en août 1936 par tous les pays, mais que les Italiens et les Allemands ont délibérément violé en fournissant une aide matérielle et humaine aux Nationalistes espagnols ? Quel fut le poids de cet épisode dans l'affaiblissement des démocraties face à la montée du péril totalitaire ?

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