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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

Mensonge sur un massacre en Dordogne par un collabo

Mensonge sur un massacre en Dordogne par un collabo
Mensonge sur un massacre en Dordogne par un collabo
Mensonge sur un massacre en Dordogne par un collabo

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Voilà un type qui falsifie l'Histoire Bonamy n' a jamais ete membre du BCRA en Dordogne C'etait monsieur Pierre PLAZE de l'Armee secrete Dordogne Sud apres la guerre il sera verse à la DGSE ,,, bonnamy n' a jamais appartenu a Combat qui a ete créé en 1940 et verse dans l'Armee Secrete des 1942....

Les propos de monsieur demontre de la fausse résistance au service des autorités de Vichy qui ont accompagne la Das Reich ,,,,Les miliciens et surtout les GMR,,,,

Emile, 82 ans, est un homme de fausse mémoire. Un militaire en retraite qui conserve soigneusement ses documents d'époque dans des pochettes plastifiées. Il se souvient d'abord de son propre passé: le 6 juin 1944, il a participé, dans le sud de la Dordogne, à la création d'un maquis, le groupe de combat Ponton-Martin, commandé par André Bonnamy, membre du Bureau central de renseignement et d'action (BCRA), parachuté de Londres l'année précédente. Seul les membres du SOE étant parachute pas ceux du BCRA qui dépendait du Bureau de La Rochelle pour la région R5 Deux mois plus tard, le 24 août 1944, à Castillon-la-Bataille (Gironde), 82 soldats allemands d'une unité de transmissions se rendent à ces maquisards, avec la garantie d'être bien traités

Mais ils seront remis a un groupe qui volait dans les fermes autour d'Eymet  et qui n'ont pas eu le courage d'aller se battre a Royan ,Rochefort ou La Rochelle C'etait Bonamy le faux resistant au service de Vichy 

 En septembre 1944, dans un village de Dordogne, la Résistance a exécuté en représailles 17 soldats allemands alors que les combats étaient terminés. Personne n'en avait jamais parlé
C'est un îlot préservé, des herbes folles en bordure d'un vaste champ où ruminent quelques vaches. Une trentaine de mètres carrés de bonne terre que personne n'a osé labourer depuis cinquante-neuf ans, de peur de remuer un mauvais souvenir. De peur de déterrer un secret collectif. Une tragédie passée sous silence, survenue peu après la libération du Périgord, à Saint-Julien-de-Crempse (Dordogne), en septembre 1944.

Le 4 novembre, des employés d'une association mandatée par l'Etat allemand doivent venir, avec la bénédiction du maire, retourner le champ. Ils vont exhumer les restes de 17 soldats allemands qui avaient été fusillés par des résistants, alors que les combats avaient cessé, qu'ils s'étaient rendus et qu'on leur avait promis d'être traités en prisonniers de guerre. Des représailles de ce type, il y en a eu d'autres. Mais personne n'a jamais parlé de cette affaire, dont on ne trouve mention ni dans les récits d'époque ni dans les archives locales. Nul n'aurait levé ce tabou sans la persévérance d'un homme, Emile Guet, qui se bat depuis plus d'un demi-siècle pour rendre leur dignité à ces morts et éteindre la colère qui l'envahit chaque fois qu'il repense à cette histoire.

Le 9 août 1944, plusieurs centaines de soldats allemands et cosaques, à cheval ou en véhicules blindés, appartenant probablement à l'Ostbataillon n° 799, encerclent le village de Saint-Julien, pour attaquer un groupe de 80 résistants. Les maquisards, commandés par le futur général Santrailles, alias «Joseph», et Lucien Marcou, dit «Regain», perdent neuf des leurs au combat. Mais les soudards allemands n'en restent pas là. Dans les maisons du centre-bourg, ils raflent 17 hommes, de 18 à 80 ans. Presque aucune famille n'est épargnée. Après avoir creusé leur propre tombe, 11 villageois sont fusillés dans un champ, les six autres dans les sous-bois. Parmi les victimes, Georges Roques, instituteur et secrétaire de mairie, qui avait inscrit sur son tableau noir: «Tant de fleurs ont poussé sur les chemins de France.» Quelques semaines plus tard, 17 soldats allemands sont fusillés et enterrés dans le même champ. OEil pour oeil. «Je n'ai jamais admis que la parole donnée à ces soldats ait été trahie, insiste Emile Guet. Ces types-là n'appartenaient même pas à une unité combattante.»

Emile, 82 ans, est un homme de mémoire. Un militaire en retraite qui conserve soigneusement ses documents d'époque dans des pochettes plastifiées. Il se souvient d'abord de son propre passé: le 6 juin 1944, il a participé, dans le sud de la Dordogne, à la création d'un maquis, le groupe de combat Ponton-Martin, commandé par André Bonnamy, membre du Bureau central de renseignement et d'action (BCRA), parachuté de Londres l'année précédente. Deux mois plus tard, le 24 août 1944, à Castillon-la-Bataille (Gironde), 82 soldats allemands d'une unité de transmissions se rendent à ces maquisards, avec la garantie d'être bien traités. «C'est moi qui les ai convoyés, le jour même, en camions à gazogène, à la caserne Davoust, à Bergerac, raconte-t-il. Nous les avons remis à un groupe de FFI qui s'y était installé.» Emile Guet repart. Pour lui, la guerre se poursuit jusqu'en 1945. A son retour au pays, des camarades de combat chuchotent: «Des Allemands de la caserne Davoust ont été fusillés à Saint-Julien.»

Dès lors, l'ancien résistant n'a de cesse de faire la lumière sur cette affaire. Il informe la presse locale, multiplie les courriers aux associations d'anciens combattants afin de réclamer une «sépulture digne (...) pour ces soldats, qui furent, au mépris des lois et usages de guerre, fusillés on ne sait à quel titre, alors que les actions de combat étaient terminées depuis le 21 août 1944». Aucun officiel ne lui répond. En 1986, puis de nouveau en 2003, il contacte le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK), service chargé de l'entretien des sépultures militaires allemandes. Cette association gère 16 cimetières en France, où reposent plus de 250 000 soldats. «Près de 15 000 combattants de la Seconde Guerre mondiale ont disparu en France», explique Julien Hauser, conservateur du cimetière militaire allemand de Berneuil (Charente-Maritime). Périodiquement, on lui signale l'existence présumée de soldats inhumés à la sauvette (voir L'Express n° 2726). Le 31 juillet dernier, Julien Hauser, accompagné d'Emile Guet, se rend à Saint-Julien-de-Crempse pour solliciter l'autorisation de procéder aux fouilles.

Le village de 171 âmes, niché entre châtaigneraies et vignobles, vit encore dans le souvenir de ses 17 habitants assassinés. Impossible d'arpenter les rues sans tomber sur un lieu de mémoire. Près de la place du 9-Août-1944, le monument aux morts égrène le nom des martyrs. Un drapeau français orne le carré mortuaire où ils sont enterrés. Les murs de la salle de la mairie, où l'on faisait la classe jusqu'en 1975, sont couverts de documents rappelant le drame: une photo de l'instituteur fusillé, la proclamation de la IVe République dans les derniers jours d'août 1944, la croix de guerre attribuée à la commune... Pas un mot, évidemment, sur les 17 Allemands. Mais le maire, Yves Blondit, élu en 1997, veut crever l'abcès: «Lorsque le VDK nous a contactés, ce fut un soulagement. Ce tabou n'encombrera plus le village.» Quelques habitants auraient préféré que l'on ne revienne plus sur cette affaire. «A quoi ça sert? Qu'est-ce qu'on va pouvoir dire pour justifier cette histoire?» se sont inquiétés certains. «Il n'y a rien à justifier, il faut le faire», tranche Yves Blondit.

«C'était une vengeance absurde»

A Saint-Julien, tout le monde, hormis les nouveaux habitants, connaissait cet épisode. Mais rares sont ceux qui y ont assisté et qui acceptent d'en parler. André Parvieux, agriculteur en retraite, avait 11 ans à l'époque. Il était enfant de choeur. «C'était un dimanche, avant la messe. Des maquisards, extérieurs au village, sont venus chercher le prêtre, raconte-t-il pour la première fois, la gorge nouée. L'abbé Leblanc a donné l'extrême-onction aux Allemands... Après, il a béni les corps.» Il poursuit: «C'était une vengeance absurde, avec des victimes innocentes une fois de plus. Maintenant que le secret est percé, autant que les choses aillent vite.» Au hameau de Roumagère, Odette Murat, 84 ans, se souvient, elle aussi: «Nous étions bouleversés de voir ces soldats apeurés. Mon père, qui travaillait dans le champ à côté, est parti pour ne pas assister à ça. Personne n'en a parlé à l'extérieur du village. On n'était pas fiers.»

Une question ne trouvera probablement jamais de réponse: qui a ordonné et commis l'exécution des soldats allemands? Des membres du maquis attaqué le 9 août? Ou un autre groupe désireux de se «montrer», en recourant à des représailles sanglantes? L'historien Pierre Laborie, spécialiste de la période, replace l'épisode dans son contexte historique: «A la Libération, la Dordogne était l'un des départements français concentrant tous les facteurs susceptibles de déboucher sur de terribles règlements de comptes: des maquis très nombreux (une soixantaine), parfois concurrents et adeptes, pour certains, d'une culture de la violence; mais aussi la tentation d'exercer des représailles à la suite des exactions commises dans les environs par la division Brehmer, la Panzerdivision Das Reich [responsable des massacres de Tulle et d'Oradour-sur-Glane] et la Légion nord-africaine, encadrée par des miliciens.»

L'opération d'exhumation du 4 novembre, l'une des plus importantes que le VDK ait menées ces trente dernières années, ne donnera lieu à aucune manifestation officielle dans le village. Mais un prêtre viendra bénir les restes des dépouilles déterrées. Celles-ci seront ensuite transférées au cimetière militaire allemand de Berneuil et inhumées le 16 novembre, journée nationale du deuil en Allemagne. Un dimanche. De paix retrouvée, cette fois."
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tecumseh
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  1. Groupe ANIC (capitaine Charles Maigre ) depuis août 1942 au 31 décembre 1943
  2. Hilaire Gachignard chauffeur
  3. Pierre Plaze membre du B.C.R.A et transmetteur : mouvement FTPF du secteur de Sigoulès. Opérationnel du 1er janvier 1943 au 28 août 1944. 326 hommes à la Libération ; 7 tués au combat, 4 fusillés et 2 déportés. En fait partie le sous-groupe de Pringorieux La Force fort d'une centaine de FTP commandé par Demorny, qui a participé à la libération de Bergerac.

 

Lundi 28 août 1944, 20 h 30. La garnison allemande, forte de 260 hommes armés de mitrailleuses lourdes, de canons, de tanks, sort de la caserne Proteau. Après plusieurs négociations, le commandant Angelini, connu sous le nom de commandant Louis, un des chefs des Forces françaises d'intervention (FFI), a finalement obtenu la rédition des Allemands. Aboutissement de plusieurs années de lutte.

Ainsi prennent fin quatre années d'occupation depuis ce 26 juin 1940 où une colonne motorisée, en provenance de Saint-André-de Cubzac, avait pénétré dans la sous-préfecture, dirigée alors par le maire, nommé par Vichy, Abel Boireau.

 Le 25 août, les compagnies Anic et Duguesclin libèrent Castillon-la-Bataille et affrontent les Allemands lors de la bataille dite des quatre châteaux à laquelle participent activement le groupe Demorny et le maquis du Chêne-vert.

  "C'est moi qui les ai convoyés, le jour même, en camions à gazogène, à la caserne Davoust, à Bergerac, raconte-t-il. Nous les avons remis à un groupe de FFI qui s'y était installé." Emile Guet repart. Pour lui, la guerre se poursuit jusqu'en 1945. A son retour au pays, des camarades de combat chuchotent: "Des Allemands de la caserne Davoust ont été fusillés à Saint-Julien." 

 

Le groupe AS Regain est attaqué le 9 à Roumazère par 1.800 allemands miliciens et GMR (9 morts au combat) tandis que le bataillon ORA Joseph combat l’ennemi et encerclé perd à Saint-Julien de Crempse 27 tués dans ses rangs. (dont Bazet L. Lipmann H., Lunot N, morts au combat).

Alors que la division "Das Reich" a quitté la région pour rejoindre le front de Normandie, les responsables allemands décident depuis Périgueux de passer à l'action contre la Résistance en envoyant, ,notamment, des renforts à la garnison de Bergerac.Les groupes de résistants sont aussi poursuivis; ainsi le groupe "Marcel" (A.S. Dordogne Centre) est attaqué à son cantonnement et est obligé de se replier en secteur sud dans les bois de St Julien-de-Crempse. Le 9 aôut 1944 , après avoir capturé un agent de liaison du groupe "Joseph" et sans doute l'avoir "fait parlé", plusieurs centaines de soldats allemands encerclent le P.C. de "Joseph" et "Regain" soit environ 80 combattants. Les autres groupes de résistants (notamment ceux de Villamblard et Campségret) arrivent à la rescousse pour dégager leurs camarades en infligeant de lourdes pertes aux Allemands (120 tués selon Bergeret). Selon le témoignage de Robert C...(camarade de maquis) Léonce faisait partie de ces derniers.
Pour tout commentaire, Léonce dira en rentrant à la maison quelques jours plus tard: "Putain, c'était pas beau à voir, ça sentait pas bon (il parlair des corps des soldats allemands abandonnés sur place).

En représailles les allemands fusilleront tous les hommes raflés dans le bourg de St Julien, soit 17 personnes de 17 à 80 ans.

 

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