13 Août 2012
Voilà un type qui falsifie l'Histoire Bonamy n' a jamais ete membre du BCRA en Dordogne C'etait monsieur Pierre PLAZE de l'Armee secrete Dordogne Sud apres la guerre il sera verse à la DGSE ,,, bonnamy n' a jamais appartenu a Combat qui a ete créé en 1940 et verse dans l'Armee Secrete des 1942....
Les propos de monsieur demontre de la fausse résistance au service des autorités de Vichy qui ont accompagne la Das Reich ,,,,Les miliciens et surtout les GMR,,,,
Emile, 82 ans, est un homme de fausse mémoire. Un militaire en retraite qui conserve soigneusement ses documents d'époque dans des pochettes plastifiées. Il se souvient d'abord de son propre passé: le 6 juin 1944, il a participé, dans le sud de la Dordogne, à la création d'un maquis, le groupe de combat Ponton-Martin, commandé par André Bonnamy, membre du Bureau central de renseignement et d'action (BCRA), parachuté de Londres l'année précédente. Seul les membres du SOE étant parachute pas ceux du BCRA qui dépendait du Bureau de La Rochelle pour la région R5 Deux mois plus tard, le 24 août 1944, à Castillon-la-Bataille (Gironde), 82 soldats allemands d'une unité de transmissions se rendent à ces maquisards, avec la garantie d'être bien traités
Mais ils seront remis a un groupe qui volait dans les fermes autour d'Eymet et qui n'ont pas eu le courage d'aller se battre a Royan ,Rochefort ou La Rochelle C'etait Bonamy le faux resistant au service de Vichy
Lundi 28 août 1944, 20 h 30. La garnison allemande, forte de 260 hommes armés de mitrailleuses lourdes, de canons, de tanks, sort de la caserne Proteau. Après plusieurs négociations, le commandant Angelini, connu sous le nom de commandant Louis, un des chefs des Forces françaises d'intervention (FFI), a finalement obtenu la rédition des Allemands. Aboutissement de plusieurs années de lutte.
Ainsi prennent fin quatre années d'occupation depuis ce 26 juin 1940 où une colonne motorisée, en provenance de Saint-André-de Cubzac, avait pénétré dans la sous-préfecture, dirigée alors par le maire, nommé par Vichy, Abel Boireau.
Le 25 août, les compagnies Anic et Duguesclin libèrent Castillon-la-Bataille et affrontent les Allemands lors de la bataille dite des quatre châteaux à laquelle participent activement le groupe Demorny et le maquis du Chêne-vert.
"C'est moi qui les ai convoyés, le jour même, en camions à gazogène, à la caserne Davoust, à Bergerac, raconte-t-il. Nous les avons remis à un groupe de FFI qui s'y était installé." Emile Guet repart. Pour lui, la guerre se poursuit jusqu'en 1945. A son retour au pays, des camarades de combat chuchotent: "Des Allemands de la caserne Davoust ont été fusillés à Saint-Julien."
Le groupe AS Regain est attaqué le 9 à Roumazère par 1.800 allemands miliciens et GMR (9 morts au combat) tandis que le bataillon ORA Joseph combat l’ennemi et encerclé perd à Saint-Julien de Crempse 27 tués dans ses rangs. (dont Bazet L. Lipmann H., Lunot N, morts au combat).
Alors que la division "Das Reich" a quitté la région pour rejoindre le front de Normandie, les responsables allemands décident depuis Périgueux de passer à l'action contre la Résistance en envoyant, ,notamment, des renforts à la garnison de Bergerac.Les groupes de résistants sont aussi poursuivis; ainsi le groupe "Marcel" (A.S. Dordogne Centre) est attaqué à son cantonnement et est obligé de se replier en secteur sud dans les bois de St Julien-de-Crempse. Le 9 aôut 1944 , après avoir capturé un agent de liaison du groupe "Joseph" et sans doute l'avoir "fait parlé", plusieurs centaines de soldats allemands encerclent le P.C. de "Joseph" et "Regain" soit environ 80 combattants. Les autres groupes de résistants (notamment ceux de Villamblard et Campségret) arrivent à la rescousse pour dégager leurs camarades en infligeant de lourdes pertes aux Allemands (120 tués selon Bergeret). Selon le témoignage de Robert C...(camarade de maquis) Léonce faisait partie de ces derniers.
Pour tout commentaire, Léonce dira en rentrant à la maison quelques jours plus tard: "Putain, c'était pas beau à voir, ça sentait pas bon (il parlair des corps des soldats allemands abandonnés sur place).
En représailles les allemands fusilleront tous les hommes raflés dans le bourg de St Julien, soit 17 personnes de 17 à 80 ans.